Deux événements à ne pas manquer
Rapide billet, pour vous signaler deux événements à ne pas manquer ces jours-ci !
Rapide billet, pour vous signaler deux événements à ne pas manquer ces jours-ci !
Après une expérience homosexuelle longue de plusieurs années, Audrey est aujourd'hui mariée... avec un homme. A l'heure du débat sur l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe, elle a accepté de nous faire part de son témoignage, pour nous aider à comprendre une réalité mal connue.
Happy ever after : c'est ainsi que se terminent les contes de fée de notre enfance. L'expérience concrète de nombreux couples est moins idyllique... au point que, de nos jours, environ la moitié 1 se résout au divorce. Il est devenu courant que certaines souhaitent essayer de construire une nouvelle relation. Comment l'Eglise peut-elle proposer un chemin aux divorcés-remariés, qui manifeste la bienveillance et la miséricorde de Dieu, sans renoncer à annnoncer un amour fidèle et durable ?
Cette question a donné lieu à un débat lors des Etats Généraux du Christianisme2, qui a permis au P. Gérard BERLIET (Pdt de l'association "Miséricorde et Vérité") et à Xavier LACROIX (théologien), de lancer quelques pistes. Compte-rendu3 de cet échange.
En vue des Etats Généraux du Christianisme, manifestation organisée par l'hebdomadaire La Vie, je tente de répondre à cette question. Ca se passe ici, chez mes amis de Le Temps d'Y Penser.
J'en profite pour ajouter que je serai à Strasbourg du 12 au 14 octobre pour les EGC, et ravi de rencontrer ceux d'entre-vous qui viendraient à s'y trouver.
Ce lundi, Christiane Taubira concrétisait, dans les colonnes de La Croix, la volonté du gouvernement de faire droit aux revendications de certaines personnes homosexuelles au mariage civil. Cette annonce ouvre un débat majeur pour notre pays, débat dont on est – comme citoyens – en droit d’espérer qu’il sera :
S'adressant au plus grand nombre, ce billet n’aura rien de théologique2 ; il s’agit en revanche de proposer un cadre de réflexion qui permettra à chacun, chrétien ou non, de progresser dans sa réflexion. Il est notamment inspiré par l’ouvrage de Thibaud Collin3, « Les lendemains du mariage gay »45.
Le mois d'août a vu fleurir, à la faveur d'une prière de l'assomption1 puis du décès du Cardinal Martini - figure du progressisme catholique -, de nombreux billets sur le discours de l'Eglise en matière de sexualité. Et les blogueurs cathos font leur coming-out, avec des témoignages parfois très personnels. Une question est centrale dans ce débat, illustrée par le billet de Natalia Trouiller2 : et si l'Eglise avait tout compris en matière de sexualité ?
N'ayant pas la prétention de résumer ici la richesse que recèlent ces billets, ni même l'ambition de tous les citer, je vous renvoie au Pearltree ci-dessous. Reste que j'ai été interpellé par le décalage profond entre ceux qui ont trouvé dans les paroles de l'Eglise leur nourriture et ceux qui plaident pour une réorientation de son discours. La ligne de fracture est particulièrement saillante sur la question du rapport à l'interdit. Je vous propose donc quelques réflexions à ce sujet.
« Plus vite, plus haut, plus fort. » : voilà l'objectif que se fixent les 10 500 athlètes participants aux JO de Londres cette quinzaine. Et cette devise a été soufflée à Pierre de Coubertin... par un prêtre.
Il est à parier que nombre d'orientations du nouveau gouvernement n'auront pas le goût de nous plaire ; il nous faut cependant, en ces premiers jours, assurer Najat Vallaud-Belkacem de notre soutien quant à sa volonté affichée de bannir la prostitution. Que les lobbies ayant un intérêt financier ou idéologique à perpétuer ce business sordide manifestent leur désaccord, c'est compréhensible ; mais 54% des français se déclarent contre l'interdiction de la prostitution !
Leurs arguments sont divers et variés (même s'ils oublient le vrai argument choc, qui donnerait presque envie aux vieilles dames folles de la messe de rejoindre la profession, l'affirmation par le Christ himself que les prostituées nous précéderont dans le Royaume). Dans une émission de radio entendue ces derniers jours, une représentante de la profession en avançait deux : sa liberté - inaliénable, selon elle - de disposer de son corps (sic1) comme bon lui-semble ; un mal qui serait nécessaire pour éviter des viols.
Rêve de femme met en scène de jeunes adultes qui se confrontent, à travers leurs liens d'amour ou d'amitié, à deux questions fondamentales : qu'est-ce qu'être un homme ou une femme, en quoi notre destin et notre identité sont-ils fondamentalement liés à notre sexe ? Et, où se situe la vraie liberté de choix d'une femme, face à une grossesse inattendue ?
Ma plus grande prière, c'est de l'aimer comme elle le mérite.. Je veux l'aimer comme Christ a aimé l'Eglise ; l'aimer comme son Père du ciel l'aime ; l'aimer comme l'Esprit Saint aime son âme ; l'aimer comme elle a été créée pour être aimée.